"Accepter de supporter indéfiniment le poids d’un crime qu’on n'a pas commis, porter injustement le qualificatif de « criminel de génocide » sans clamer son innocence est une entorse à la recherche de la vérité"
Dernières nouvelles
Pas d'article dans la liste.
A lire aussi ...
• Les familles des acquités et libérés du TPIR réclament à l'ONU leur "droit à la famille" (02.01.21)
• Luc Marchal: La culpabilité irrationnelle (19.12.15)
Rwanda, Conference de Rouen 2: P.Péan médaillé du courage et de la vérité
18.11.2009: L'écrivain Pierre Péan a été relaxé en appel, mercredi, des poursuites de provocation à la discrimination raciale pour son livre sur le génocide rwandais, "Noires fureurs, blancs menteurs", publié en 2005. "C'est une victoire pour la liberté d'expression", s'est félicitée son avocate Me Florence Bourg. L'éditeur Claude Durand a également été relaxé. Lire l'arrêt de la Cour d'Appel de Paris dans l'affaire SOS Racisme contre Pierre Péan.
Il y a quelques années P. Péan disait: "Je n’ai jamais rencontré une histoire pareille à celle du Rwanda. La vérité n’est pas audible. Tous les gens qui disaient la vérité, aujourd’hui encore, ne parviennent pas à être entendus. Choqué par la mort de Ndadaye. J’ai été en relation permanente (36 heures) avec l’hôtel des milles collines pour sauver les 5 enfants d’Agathe qui venait d’être assassinée. Les 5 enfants ont été sauvés avec l’intervention de la France. « J’ai été sensibilisé par les images du génocide » dit Péan. Le 1er juillet 1994, Mitterand rencontre Museveni et lui dit: « Savez-vous que les tutsi massacrent aussi ? ». A cette date, déjà, un conseiller de l’Elysée est traumatisée par les attaques proférées contre l’opération turquoise. …" Regardez et écoutez ...
www.rwamucyo.com 21.11.2009
Reportage de la télévision TF1 sur le Dr Rwamucyo Eugène
"Etre libre, on ne le dira jamais assez, c'est vouloir aussi la liberté de l'autre, pour celui qui ne pense pas comme soi. C'est ne respirer soi-même largement que si l'on est assuré que l'autre n'étouffe pas dans un cachot." (Gabriel Marcel)